Im Dezember wird Elisabeth in der Produktion ‘Nussknacker – Das Fest’ im Théâtre National de Luxembourg tanzen. Man kann sie dort in der Rolle des Herrn Drosselmeter, einem alten, leicht exzentrischen, etwas dunklen aber liebevollen Charakter sehen.

Mehr Informationen:
httpss://www.tnl.lu/de/event/nussknacker-das-fest

https://www.facebook.com/events/1672447216300570/

Am 3. November wird Elisabeth im Rahmen des Trois du Trois, einem Event des Trois C-L, Centre de Création Choréographique Luxembourgeois ihre neue Bewegungsrecherche zeigen. Als Teil dieses Events wird Elisabeth des weiteren eine Präsentation über Ihre choreographische Arbeit halten. Das Luxembourgische Fernsehprogramm RTL wird das Event filmen und ein Interview mit Elisabeth ausstrahlen.

httpss://www.danse.lu

Am 10. Oktober 2015 wird das neue Stück OPTIKE der luxemburgischen Choreographin Anu Sistonen im Kulturhaus in Mersch seine Premiere haben. Ich freue mich sehr bei diesem Projekt mitwirken zu können. Neben OPTIKE werden weitere Stücke der luxemburgischen Choreographen Bernard Baumgarten und Ann-Marieke Hess gezeigt werden.

Mehr Informationen auf:

httpss://www.danse.lu/creations/trois-fois-dance/optike/

Avec OPTIKE, Anu SIstonen se consacre à un projet de recherche sur la mise en lumière et en espace de son langage corporel et artistique. En compagnie de Brice Durand, créateur lumière, elle proposera des pistes pour que la lumière retranscrive le mouvement de façon visuelle. L’idée est de confronter le mouvement dansé à la notion de frontières, de limites spatiales, de lignes de cassure. Le temps de travail permettra d’explorer, d’expérimenter, de manipuler et de développer un langage corporel.

www.anusistonen.com

Partenaires : TROIS C-L, Mierscher Kulturhaus, FEDER – Fonds de Développement Régional dans le cadre du programme INTERREG IV-A Grande Région

STADTKÖRPER

Interview avec Bernard Baumgarten, directeur du Trois C-L, Centre de Création Choréographique, et l’artiste Elisabeth Schilling sur sa nouvelle exposition STADTKÖRPER qui ouvrira ce samedi 3 octobre au Trois C-L.

Comment l’idée t’est-elle venue d’organiser l’exposition STADTKÖRPER?

En 2013, j’ai eu la chance de pouvoir travailler à Berlin. Pendant cette période, j’ai tout de suite remarqué l’architecture éclectique de la ville qui se développe de jour en jour.
Berlin se trouve dans une période de réinvention – les nouveaux bâtiments, les chaînes de magasins ainsi que les rénovations se multiplient. Berlin devient une ville du monde comme Londres ou Paris. On peut y observer une architecture dont la valeur politico-culturelle, qui fût particulièrement significative pour la ville au cours de son histoire, s’amenuise avec le temps.
En me baladant dans la ville, j’ai néanmoins fortement senti que les restes historiques de Berlin étaient toujours bien présents, particulièrement autour de ses vieux bâtiments. Disparates mais omniprésentes, ces traces du passé sont très visibles autour des anciens lieux qui n’ont pas été modifiés. Il s’en dégage une énergie très particulière. C’est à ce moment-là que j’ai vraiment eu envie d’initier ce projet. Je voulais partager ces impressions et réflexions.

Pourquoi as-tu choisi la photographie comme medium?

J’ai choisi la photographie intuitivement. J’ai toujours été intéressée par la photographie en tant que pratique artistique capable de capturer des expressions subtiles et spontanées.
Puis, j’ai eu l’idée d’inviter différents photographes afin de collaborer sur ce projet. J’imaginais que cette collaboration avec plusieurs artistes pouvait enrichir mon sujet de départ. Plus le projet avançait, plus la thématique se renforçait. Artistiquement parlant j’ai bien aimé pouvoir combiner plusieurs points de vue et diverses esthétiques à travers ce seul et même sujet.

Comment as-tu choisi les artistes photographes?

En fait, ça a été très simple. J’ai contacté les institutions photographiques Berlinoises par mail. Ces mails introduisaient mon concept et mes premières inspirations concernant ce projet. Je demandais également aux photographes intéressés de me contacter. Puis, j’ai organisé des interviews afin de rencontrer les photographes personnellement. J’ai collaboré avec tous les photographes intéressés. L’exposition ne révèle pas le travail de tous les photographes qui furent impliqués. STADTKÖRPER ne pouvait contenir tout le travail photographique développé dû à un choix artistique et esthétique précis.

Où les photographies ont-elles été prises?

Les photographies ont été prises dans divers lieux Berlinois. Les photographes et moi-même les avons sélectionnés par à rapport à leur dynamique architectural et leur lien historique que j’ai précédemment évoqués; des restes d’Histoire qui commencent à se faire oublier mais très ostensibles. L’exposition en révèle une sélection. On voit par exemple une vieille gare, Pankow, qui n’est plus utilisée et qui se trouve dans l’ex Berlin-Est. Son architecture est magnifiques et très particulière. Sa superficie est très impressionnante et elle est toute ronde! À peine connue des touristes, cette gare reste un secret bien gardé.
Nous avons également pris des photos aux Frankfurter Tor, un bâtiment immense avec un style architectural typique du Stalinisme. A part ça, les photos ont été prises auprès de vielles maisons dans le centre de Berlin. On peut encore y voir des impacts de bombes de la Seconde Guerre mondiale. Il y a aussi un vieux cimetière, et le vieil aéroport Tempelhof du Sud de la ville.

As-tu l’intention de continuer ce projet ou cette exhibition marque-t-elle sa fin?

Je me suis également posée la question. Tout d’abord je voudrais remercier le Trois C-L pour avoir facilité cette première exposition de STADTKÖRPER. Par la suite, j’ai l’intention de la montrer à Londres, Berlin, et Mayence.
Je me demande aussi comment ce projet pourrait se développer. Il y a de très belles photographies qui ne s’intégraient pas bien au format de l’exposition comme elle se présente ici. Je crois que je vais chercher d’autres concepts permettant de respecter leur expression artistique et leur singularité.
Pour ce qui est de Stadtkörper, je me laisse inspirer par mes rencontres à venir. Si je fais la connaissance d’autres photographes intéressés, je suis partante pour continuer STADTKÖRPER et réaliser plus de photographies en rapport avec mes premières inspirations.

Hier mein Blog – Post über meine Teilnahme an dem Summer Lab der Candoco Dance Company London und die Arbeit mit dem Choreographen Alexander Whitely:
httpss://www.candoco.co.uk/news/.

2013 arbeitete Elisabeth mit verschiedensten Photographen in Berlin zusammen. Die hieraus entstandene Ausstellung ‘Stadtkörper’ ist vom 25.September – 30.Oktober im TROIS C-L, Centre Choréographique Luxembourgeois zu sehen. Das Event zur offiziellen Ausstellungseröffnung findet am 3. Oktober im TROIS C-L statt.

httpss://www.danse.lu/evenements/3-du-trois/octobre-2015/

STADTKÖRPER

Inspiration zu dem Photoprojekt ‚Stadtkörper’ war das architektonische Bild Berlins, das ich im Rahmen eines Arbeitsaufenthaltes 2013 erkunden durfte.
Obwohl einige Teile der Stadt von Neubauten, Geschäftsketten und Sanierungen gekennzeichnet sind, sind die Spuren der Geschichte allgegenwärtig und meist nicht zu übersehen. Die Art und Weise, wie die Energie dieser Spuren, ihre Schwere aber auch ihr Verfall sich in der alltäglichen Gegenwart manifestieren, gab mir die Idee zum Versuch, sie im Zusammenspiel von Tanz und Photographie festzuhalten. Der Tanz, Kunstform der Gegenwart, vereint sich mit dem stillen Bild der Photographie; so werden Atmosphäre, Ausdrücke, Formen und Eindrücke festgehalten.

Der Arbeitsprozess war von Anfang an Kollaboration mit einer Vielzahl von Photographinnen und Photographen konzipiert. Dabei interessierten mich besonders die individuellen Herangehensweisen an das Thema Bewegung, aber auch die verschiedenen Sichtweisen auf Gebäude und Stadtbild, insbesondere deren Rahmung und Komposition. Wie ergreift das stille Medium der Photographie das, was ihm unweigerlich entrinnt?
Die Ausstellung zeigt eine Auswahl der Photographien, die im Laufe des Projektes entstanden sind.

Idee & Konzept: Elisabeth Schilling

Beteiligte Photographen: Eunsun Cho, Benjamin Kummer, Jenny Fitz, Carolin Ubl, Sandra Pomorin.

Künstlerische Beratung: Hildegard Schilling, Moritz Gansen, Bernard Baumgarten.

Mit herzlichem Dank an das gesamte Team des TROIS – CL.

Im September wird Elisabeth zusammen mit dem Performance-Duo Schaitl Costa eine Bewegungs- und Tonstruktur für das Event ‘Quiet Cue im KINDL’ erarbeiten, die dann insgesamt mit 9 internationalen Künstler / Innen aufgeführt wird.

tasks, ortsbezogene „Movement and Sound Structure“ für neun Performer
Konzept und Struktur: Jasmin Schaitl & William „Bilwa“ Costa
Partituren, Choreographie und Performance: Fabricio Belzoff (BR/DE), Phoebe Brown (UK), William „Bilwa“ Costa (US), Göksu Kunak (TR/DE), Emily Ranford (AU/DE), Jasmin Schaitl (AT), Elisabeth Schilling (DE/UK), Christian Konrad Schröder (AT), Ieva Savickaitė (LT)

httpss://www.kindl-berlin.de/quiet-cue

Im August wird Elisabeth mit der in London basierten Kompanie Sweetshop Revolution zum Edinburgh Fringe Festival fahren, wo sie der Choreografin Sally Marie als künstlerische Assistenz zur Seite steht.

Die neue Show ‘I loved you and I loved you’ wird vom 23. – 31. August jeden Abend um 18.40 Uhr im ‘Sancturary’ in den Zoo Venues aufgeführt werden.

Informationen zu der Kompanie und der Show:

httpss://www.sweetshoprevolution.com/news/

Elisabeth nach Kopenhagen reisen, um dort beim Internationalen DACI Kongress zu choreographieren. Das Werk wird am 10. Juli im Garten rund um die Danshallerne gezeigt werden. Mehr zu der Arbeit in künstlerische Arbeit – Choreografie.

 

Das Stück ‘Triptych’, dass von Mara Vivas choreographiert wurde und im Februar 2015 bei The Place zur Uraufführung kam, wird im Juni 2015 wieder aufleben.

Am 18. Juni wird es beim GOLive Festival, kuratiert von dem Tanzkritiker Donald Hutera, in London im Lion&Unicorn Theatre wiederaufgeführt werden.

Am 30. Juni wird ‘Triptych’ in der Bolivar Hall in London in einem Event, dass von Mara Viva selbst kuratiert wurde weiterhin aufgeführt werden.

Tickets unter: httpss://www.offwestend.com/index.php/plays/view/12998

 

Außerdem wird Elisabeth an verschiedenen Recherchenprozessen mit Choreographen in London teilnehmen.