Elisabeth wird diese Woche in Anu Sistonen’s OPTIKE in Mancieulles, Nordfrankreich zu sehen sein. Das Stück kombiniert experimentelles Lichtdesign von Brice Durand mit der speziellen Bewegungssprache der Choreographin.

Tickets: httpss://www.theatreicietla.com/

Am 16. Februar wird Elisabeth bei Hannah Ma & Guests im Kulturzentrum ‘Beim Nessert’ auftreten. Der Abend, der von Hannah Ma kuratiert wurde, zeigt Arbeiten Ihres choreographischen Werkes.

Tickets: réservations : krys.pleimelding@mondercange.lu

Am 13. Februar 2016 wird Elisabeth zusammen mit dem Tonkünstler William ‘BilWa’ Costa und den beiden Tänzerinnen Emily Ranford und Saori Hala beim Impro.per.arts Festival im Kunstquartier Bethanien auftreten.

Mehr Information & Tickets hier: httpss://impro-per-arts.de/performances/60-minutes/3-minutes-20-times/

Bewegungsqualitäten und -texturen in Choreographie und Improvisation
Elisabeth Schilling’s künstlerische Recherche besteht darin immer wieder neue und unerkannte Bewegungsqualitäten und – texturen zu finden, zu erforschen und damit zu experimentieren diese choreographisch in Zeit und Raum anzuordnen.
Im ersten Teil besteht dieser Workshop aus einer Tanzklasse, in der Elisabeth, von ihrer Arbeit inspiriert,einen artikulierten, aufmerksamen und neugierigen Körper ausbildet, der mit individuellem Instinkt durch präzise Ausrichtung, mit Gewicht und Momentum, in Zeit und Raum zu einer dynamischen Verspieltheit einlädt.
Der zweite Teil des Workshops hat die individuelle Kreativität und Neugierde im Fokus. Durch improvisatorische und erforschende Aufgaben sowie auch festgesetzte Übungen wird die positive und energiereiche Umgebung dazu ermutigen das volle Potential jedes Körpers zu entdecken und durch Kraft, Effizienz, und Kreativität weiter zu entwickeln.

Elisabeth ist eine Tänzerin und Choregraphin. Sie tanzte für Scottish Dance Theater, Candoco Dance Company (u.a.) und interpretierte Repertoire von Trisha Brown und Sasha Waltz. Elisabeth gab verschiedene Workshops und Training für Studenten jeden Alters in England, Irland, Dänemark, Deutschland und Luxemburg für verschiedene Einrichtungen wie z.B., 3-CL Luxembourg, Skolen for Moderne Dans, Copenhagen, Northern School of Contemporary Dance, Sasha Waltz & Guest Kindertanzkompanie, London Contemporary Dance School’s youth company SHIFT, SEAD Salzburg und vielen anderen. Mehr Informationen auf: www.elisabethschilling.com

Wann: 13. und 14. Februar jeweils 10Uhr-14Uhr
Wo: steht noch nicht fest
Kosten: 15€ pro Workshoptag
Anmeldung: verbindliche Anmeldung bis 06.02.2016 per E-Mail an kristin.m@web.de

Elisabeth und Simone haben ihre neue Kollaboration begonnen. Ihr Stück ‚Impressing the Grand Duke‘ wird als Teil des Programmes ‚Les Emergences – Vol. 3‘ am Trois C-L, Centre de Création Choréographique im April 2016 zur Premiere gebracht werden.

Mehr Infos auf: www.simoneandelisabeth.com

Impressing the Grand Duke” is a multidisciplinary performance combining dance, video projection and theatre. The piece is a satirical comment on the sociocultural context of young artists who are labelled as “”emerging””. It aims at critically exploring the politics behind art making and the institutionalised and individual powers that exert pressure on artists in the process of art making.

Im Dezember wird Elisabeth in der Produktion ‘Nussknacker – Das Fest’ im Théâtre National de Luxembourg tanzen. Man kann sie dort in der Rolle des Herrn Drosselmeter, einem alten, leicht exzentrischen, etwas dunklen aber liebevollen Charakter sehen.

Mehr Informationen:
httpss://www.tnl.lu/de/event/nussknacker-das-fest

https://www.facebook.com/events/1672447216300570/

Am 3. November wird Elisabeth im Rahmen des Trois du Trois, einem Event des Trois C-L, Centre de Création Choréographique Luxembourgeois ihre neue Bewegungsrecherche zeigen. Als Teil dieses Events wird Elisabeth des weiteren eine Präsentation über Ihre choreographische Arbeit halten. Das Luxembourgische Fernsehprogramm RTL wird das Event filmen und ein Interview mit Elisabeth ausstrahlen.

httpss://www.danse.lu

Am 10. Oktober 2015 wird das neue Stück OPTIKE der luxemburgischen Choreographin Anu Sistonen im Kulturhaus in Mersch seine Premiere haben. Ich freue mich sehr bei diesem Projekt mitwirken zu können. Neben OPTIKE werden weitere Stücke der luxemburgischen Choreographen Bernard Baumgarten und Ann-Marieke Hess gezeigt werden.

Mehr Informationen auf:

httpss://www.danse.lu/creations/trois-fois-dance/optike/

Avec OPTIKE, Anu SIstonen se consacre à un projet de recherche sur la mise en lumière et en espace de son langage corporel et artistique. En compagnie de Brice Durand, créateur lumière, elle proposera des pistes pour que la lumière retranscrive le mouvement de façon visuelle. L’idée est de confronter le mouvement dansé à la notion de frontières, de limites spatiales, de lignes de cassure. Le temps de travail permettra d’explorer, d’expérimenter, de manipuler et de développer un langage corporel.

www.anusistonen.com

Partenaires : TROIS C-L, Mierscher Kulturhaus, FEDER – Fonds de Développement Régional dans le cadre du programme INTERREG IV-A Grande Région

STADTKÖRPER

Interview avec Bernard Baumgarten, directeur du Trois C-L, Centre de Création Choréographique, et l’artiste Elisabeth Schilling sur sa nouvelle exposition STADTKÖRPER qui ouvrira ce samedi 3 octobre au Trois C-L.

Comment l’idée t’est-elle venue d’organiser l’exposition STADTKÖRPER?

En 2013, j’ai eu la chance de pouvoir travailler à Berlin. Pendant cette période, j’ai tout de suite remarqué l’architecture éclectique de la ville qui se développe de jour en jour.
Berlin se trouve dans une période de réinvention – les nouveaux bâtiments, les chaînes de magasins ainsi que les rénovations se multiplient. Berlin devient une ville du monde comme Londres ou Paris. On peut y observer une architecture dont la valeur politico-culturelle, qui fût particulièrement significative pour la ville au cours de son histoire, s’amenuise avec le temps.
En me baladant dans la ville, j’ai néanmoins fortement senti que les restes historiques de Berlin étaient toujours bien présents, particulièrement autour de ses vieux bâtiments. Disparates mais omniprésentes, ces traces du passé sont très visibles autour des anciens lieux qui n’ont pas été modifiés. Il s’en dégage une énergie très particulière. C’est à ce moment-là que j’ai vraiment eu envie d’initier ce projet. Je voulais partager ces impressions et réflexions.

Pourquoi as-tu choisi la photographie comme medium?

J’ai choisi la photographie intuitivement. J’ai toujours été intéressée par la photographie en tant que pratique artistique capable de capturer des expressions subtiles et spontanées.
Puis, j’ai eu l’idée d’inviter différents photographes afin de collaborer sur ce projet. J’imaginais que cette collaboration avec plusieurs artistes pouvait enrichir mon sujet de départ. Plus le projet avançait, plus la thématique se renforçait. Artistiquement parlant j’ai bien aimé pouvoir combiner plusieurs points de vue et diverses esthétiques à travers ce seul et même sujet.

Comment as-tu choisi les artistes photographes?

En fait, ça a été très simple. J’ai contacté les institutions photographiques Berlinoises par mail. Ces mails introduisaient mon concept et mes premières inspirations concernant ce projet. Je demandais également aux photographes intéressés de me contacter. Puis, j’ai organisé des interviews afin de rencontrer les photographes personnellement. J’ai collaboré avec tous les photographes intéressés. L’exposition ne révèle pas le travail de tous les photographes qui furent impliqués. STADTKÖRPER ne pouvait contenir tout le travail photographique développé dû à un choix artistique et esthétique précis.

Où les photographies ont-elles été prises?

Les photographies ont été prises dans divers lieux Berlinois. Les photographes et moi-même les avons sélectionnés par à rapport à leur dynamique architectural et leur lien historique que j’ai précédemment évoqués; des restes d’Histoire qui commencent à se faire oublier mais très ostensibles. L’exposition en révèle une sélection. On voit par exemple une vieille gare, Pankow, qui n’est plus utilisée et qui se trouve dans l’ex Berlin-Est. Son architecture est magnifiques et très particulière. Sa superficie est très impressionnante et elle est toute ronde! À peine connue des touristes, cette gare reste un secret bien gardé.
Nous avons également pris des photos aux Frankfurter Tor, un bâtiment immense avec un style architectural typique du Stalinisme. A part ça, les photos ont été prises auprès de vielles maisons dans le centre de Berlin. On peut encore y voir des impacts de bombes de la Seconde Guerre mondiale. Il y a aussi un vieux cimetière, et le vieil aéroport Tempelhof du Sud de la ville.

As-tu l’intention de continuer ce projet ou cette exhibition marque-t-elle sa fin?

Je me suis également posée la question. Tout d’abord je voudrais remercier le Trois C-L pour avoir facilité cette première exposition de STADTKÖRPER. Par la suite, j’ai l’intention de la montrer à Londres, Berlin, et Mayence.
Je me demande aussi comment ce projet pourrait se développer. Il y a de très belles photographies qui ne s’intégraient pas bien au format de l’exposition comme elle se présente ici. Je crois que je vais chercher d’autres concepts permettant de respecter leur expression artistique et leur singularité.
Pour ce qui est de Stadtkörper, je me laisse inspirer par mes rencontres à venir. Si je fais la connaissance d’autres photographes intéressés, je suis partante pour continuer STADTKÖRPER et réaliser plus de photographies en rapport avec mes premières inspirations.

Hier mein Blog – Post über meine Teilnahme an dem Summer Lab der Candoco Dance Company London und die Arbeit mit dem Choreographen Alexander Whitely:
httpss://www.candoco.co.uk/news/.