Elisabeth is currently in residency at Spam! I Aldes, where she is working towards exending the Ligeti Solo called ‘Mosaikgleiche Augenblicklichkeiten’ from 2019 to a full-length evening solo to premiere in 2023.
Image: Martina Stampf / Tanz *Hotel
On February 16th, Elisabeth will perform at Hannah Ma & Guests in Kulturzentrum ‘Beim Nessert’ in Bergem.
Tickets: krys.pleimelding@monder
On February 13th, Elisabeth will perform together with sound artist William ‘BilWa’ Costa and dancers Emily Ranford as well as Saori Hala as part of the festival impro.per.arts in Berlin in Kunstquartier Bethanien.
More Infos & Tickets: httpss://impro-per-arts.de/performances/60-minutes/3-minutes-20-times/
Movement Qualities and Textures
in Choreography and Improvisation
Elisabeth’s artistic research is concerned with continuously researching and finding new and unknown moment qualities and textures. She moreover experiments with how these can be set choreographically in time and space and in relation to each other.
The first part of this workshop will be a dance class, in which Elisabeth, inspired by her work, will prepare an articulate, attentive and curious body to move with individual instinct through precise alignment, flow of weight, use of time and dynamic playfulness.
The second part of this workshop focusses on individual creativity and curiosity. By introducing exploratory tasks as well as set material, the positive and energetic environment will encourage discovering the body’s full potential through facility, strength, efficiency and a creative mind.
Elisabeth is a dancer and dance maker. Having danced for Scottish Dance Tehatre and Candoco Dance Company (amongst others) she also interpreted repertoire by Trisha Brown and Sasha Waltz. Elisabeth’s has taught numerous workshops and classes for students of all ages and levels in the UK, Ireland, Denmark, Germany and Luxembourg for institutions such as 3-CL Luxembourg, Skolen for Moderne Dans, Copenhagen, Northern School of Contemporary Dance, Sasha Waltz & Guest Kindertanzkompanie, London Contemporary Dance School’s youth company SHIFT, SEAD Salzburg amongst others. More information on: www.elisabethschilling.com
When: 13th and 14th of February 10Uhr-14Uhr
Where: to be confirmed
Price: 15€ daily
Enrollment: to enrol please send an E-Mail to kristin.m@web.de until 6th of February
Simone Mousset and Elisabeth Schilling have started their new collaboration ‘Impressing the Grand Duke’. The piece will premiere as part of ‘Les Emergence No.3’ at Trois C-L, Centre de Creation Choréographique Luxembourgeois in April 2016.
Impressing the Grand Duke is a multidisciplinary performance combining dance, video projection and theatre. The piece is a satirical comment on the sociocultural context of young artists who are labelled as ”emerging”. It aims at critically exploring the politics behind art making and the institutionalised and individual powers that exert pressure on artists in the process of art making.
More infos on:
www.simoneandelisabeth.com
December – The Nutcracker season has started! Elisabeth will join the production of ‘Nutcracker – The party’ at Théâtre National du Luxembourg. Come and see her dance Mr Drosselmeyer, a slightly quirky, ambiguous, obscure, however loving character in this contemporary adaptation of the classic!
More information of:
On November 3rd, Elisabeth will present her new Movement Study as part of ‘Trois du Trois’, an event by the dance house Trois C-L, Centre de Creation Choréographique Luxembourgeois. This event will focus on the theme of choreographic research and thus, Elisabeth will also speak about her work in the form of a presentation. A documentary of the event will be shown on the Luxembourgish TV channel RTL, together with an interview by Elisabeth.
On October the 10th, Anu Sistonen’s new work OPTIKE will be premiered in Kulturhaus Mersch. I am very excited to be part of this project. The evening will also show work by Luxembourgish choreographers Bernard Baumgarten and Ann-Marieke Hess.
More Infos on:
httpss://www.danse.lu/creations/trois-fois-dance/optike/
Avec OPTIKE, Anu Sistonen se consacre à un projet de recherche sur la mise en lumière et en espace de son langage corporel et artistique. En compagnie de Brice Durand, créateur lumière, elle proposera des pistes pour que la lumière retranscrive le mouvement de façon visuelle. L’idée est de confronter le mouvement dansé à la notion de frontières, de limites spatiales, de lignes de cassure. Le temps de travail permettra d’explorer, d’expérimenter, de manipuler et de développer un langage corporel.
www.anusistonen.com
Partenaires : TROIS C-L, Mierscher Kulturhaus, FEDER – Fonds de Développement Régional dans le cadre du programme INTERREG IV-A Grande Région
STADTKÖRPER
Interview avec Bernard Baumgarten, directeur du Trois C-L, Centre de Création Choréographique, et l’artiste Elisabeth Schilling sur sa nouvelle exposition STADTKÖRPER qui ouvrira ce samedi 3 octobre au Trois C-L.
Comment l’idée t’est-elle venue d’organiser l’exposition STADTKÖRPER?
En 2013, j’ai eu la chance de pouvoir travailler à Berlin. Pendant cette période, j’ai tout de suite remarqué l’architecture éclectique de la ville qui se développe de jour en jour.
Berlin se trouve dans une période de réinvention – les nouveaux bâtiments, les chaînes de magasins ainsi que les rénovations se multiplient. Berlin devient une ville du monde comme Londres ou Paris. On peut y observer une architecture dont la valeur politico-culturelle, qui fût particulièrement significative pour la ville au cours de son histoire, s’amenuise avec le temps.
En me baladant dans la ville, j’ai néanmoins fortement senti que les restes historiques de Berlin étaient toujours bien présents, particulièrement autour de ses vieux bâtiments. Disparates mais omniprésentes, ces traces du passé sont très visibles autour des anciens lieux qui n’ont pas été modifiés. Il s’en dégage une énergie très particulière. C’est à ce moment-là que j’ai vraiment eu envie d’initier ce projet. Je voulais partager ces impressions et réflexions.
Pourquoi as-tu choisi la photographie comme medium?
J’ai choisi la photographie intuitivement. J’ai toujours été intéressée par la photographie en tant que pratique artistique capable de capturer des expressions subtiles et spontanées.
Puis, j’ai eu l’idée d’inviter différents photographes afin de collaborer sur ce projet. J’imaginais que cette collaboration avec plusieurs artistes pouvait enrichir mon sujet de départ. Plus le projet avançait, plus la thématique se renforçait. Artistiquement parlant j’ai bien aimé pouvoir combiner plusieurs points de vue et diverses esthétiques à travers ce seul et même sujet.
Comment as-tu choisi les artistes photographes?
En fait, ça a été très simple. J’ai contacté les institutions photographiques Berlinoises par mail. Ces mails introduisaient mon concept et mes premières inspirations concernant ce projet. Je demandais également aux photographes intéressés de me contacter. Puis, j’ai organisé des interviews afin de rencontrer les photographes personnellement. J’ai collaboré avec tous les photographes intéressés. L’exposition ne révèle pas le travail de tous les photographes qui furent impliqués. STADTKÖRPER ne pouvait contenir tout le travail photographique développé dû à un choix artistique et esthétique précis.
Où les photographies ont-elles été prises?
Les photographies ont été prises dans divers lieux Berlinois. Les photographes et moi-même les avons sélectionnés par à rapport à leur dynamique architectural et leur lien historique que j’ai précédemment évoqués; des restes d’Histoire qui commencent à se faire oublier mais très ostensibles. L’exposition en révèle une sélection. On voit par exemple une vieille gare, Pankow, qui n’est plus utilisée et qui se trouve dans l’ex Berlin-Est. Son architecture est magnifiques et très particulière. Sa superficie est très impressionnante et elle est toute ronde! À peine connue des touristes, cette gare reste un secret bien gardé.
Nous avons également pris des photos aux Frankfurter Tor, un bâtiment immense avec un style architectural typique du Stalinisme. A part ça, les photos ont été prises auprès de vielles maisons dans le centre de Berlin. On peut encore y voir des impacts de bombes de la Seconde Guerre mondiale. Il y a aussi un vieux cimetière, et le vieil aéroport Tempelhof du Sud de la ville.
As-tu l’intention de continuer ce projet ou cette exhibition marque-t-elle sa fin?
Je me suis également posée la question. Tout d’abord je voudrais remercier le Trois C-L pour avoir facilité cette première exposition de STADTKÖRPER. Par la suite, j’ai l’intention de la montrer à Londres, Berlin, et Mayence.
Je me demande aussi comment ce projet pourrait se développer. Il y a de très belles photographies qui ne s’intégraient pas bien au format de l’exposition comme elle se présente ici. Je crois que je vais chercher d’autres concepts permettant de respecter leur expression artistique et leur singularité.
Pour ce qui est de Stadtkörper, je me laisse inspirer par mes rencontres à venir. Si je fais la connaissance d’autres photographes intéressés, je suis partante pour continuer STADTKÖRPER et réaliser plus de photographies en rapport avec mes premières inspirations.
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