Mood(s) ist ein Tanzstück von Anu Sistonen. Es wurde im November 2017 im Théâtre d’Esch / Grand Théâtre Luxembourg zur Premiere gebracht.

In ihrem neuen Stück Mood(s)widmet sie sich dem ganzen Repertoire menschlicher Stimmungen.

Inspirieren ließ sie sich dabei unter anderem von der Bilderserie Mood Swings des Fotografen Miikka Heinonen, der für Sistonen bereits mehrfach Videoprojektionen und Montagen gestaltet hat. Begleitet werden die fünf Tänzer von der Sängerin Stephany Ortega und dem Schlagzeuger Sven Kiefer mit seinem Marimbaphon.

Choregraphie: Anu Sistonen

Interpretation: Élisabeth Schilling, Simone Mousset, Rhiannon Morgan, Baptiste Hilbert, Frank Koenen

Gesang: Stephany Ortega
Percussion: Sven Kiefer
Bildende Kunst & Photographie: Miikka Heinonen
Kostüm Designer: Mélanie Planchard
Licht Design: Philippe Lacombe

Produktion: Théâtre d’Esch
Coproduktion: Les Théâtres de la Ville de Luxembourg

» C’est un hymne au passé et au présent. Tant en msuqiue, qu’en danse qui, portée par de magnifiques costumes signées Mélanie Planchard, oscille entre classique et contemporain. Le jeudi, Florence Becanne

» On sent l’aspiration de la chorégraphe formée à l’école du ballet classique à se libérer d’un certain corset. (…)La palette (des instruments de Sven Kieffer), qui va du marimba au vibraphone en passant par la batterie et les effets électro-acoustiques, permet d’explorer les «Mood(s)» sous toutes leurs couleurs sonores. (…) Ses humeurs sont soulignées par la belle création lumière de Philippe Lacombe, les vidéos de Miika Heinonen mais aussi les costumes imaginés par Mélanie Planchard. La soprano Stephany Ortega, (…), intervient en pointillé dans les moments plus intimistes qu’elle sublime de sa voix chaude et cristalline à la fois. (…). (Les danseurs) ont parfaitement intégré l’écriture néoclassique particulière d’Anu Sistonen, sa fluidité, sa rythmique ternaire, ses mouvements des bras qui entraînent le corps. Luxemburger Wort, Marie-Laure Rolland

» [Anu Sistonen] est fidèle à une danse et à ses danseurs, son parcours est linéaire, toutes ses créations sans exception portent son style, la musique est une récurrence dans son œuvre […]. Loin d’être un élément décoratif, la musique est partie intégrante de la vie et se danse. Le Jeudi, Florence Bécannev